Affaire Kuthu.

Regardez ce que je recois de la part de Valdez. C'est un gros degueulasse ^^ me va lui en envoyer un bien de rp sur la continuité des que j'ai le temps :p

Citation :

Valdez se frottait le sang séché sur les mains, l'odeur tenace de l'alcool y restait imbibée. Le passage par l'ether permet d'oublier les tourments endurés lors du voyage aller, aussi voici un récit de ce qu'à subit Alquaid aux mains expertes de Valdez et de son fils Cadiz, envoyé à l'intéressé biensûr, mais aussi aux chefs de la Garde d'Eldrin et de la famille Elevation. Ceux-ci sauront alors ce qu'il en coûte de se promener à Kuthu:

Un moment d'inattention a isolé Alquaid du reste de la pureté. Cadiz en 1ere ligne saute sur l'occasion et agresse la brebis égarée.Le bourreau lui lie les mains, lui coupe les cheveux et la place alors sur une échelle. Il lui jette de l'alcool sur la tête et y met le feu pour brûler la chevelure jusqu'aux racines.

Valdez ne voulant rien perdre de la partie y met du sien:
-"Place-lui des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et enflamme-les !
Ensuite lie-lui les mains derrière le dos et élève jusqu'en haut."

Là, ils laissent la victime suspendue pendant trois ou quatre heures jusqu'au petit déjeuner. A son retour, Valdez prend les choses en main et lui asperge le dos d'alcool et y met le feu. Il lui attache de très lourds poids au corps et l'élève à nouveau. Après cela, il lui place le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et la remonte une fois de plus très haut.

Il lui comprime alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frappe les bras avec un bâton. Il la laisse ainsi suspendue pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse.

Puis il lui presse les mollets et les jambes à la vis, la fouette ensuite avec un fouet conditionné pour la faire saigner.

A nouveau, il lui place pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant qu'il va manger un peu avec les soldats de l'Ost.

Alquaid déchire la nuit de cris d'Agonie rappelant le temps où Faust règnait que la ville sombre, pour finalement rejoindre l'ether dans une douleur sans nom...


Valdez
Duc du Pic de la Souffrance
Commandeur de l'Ost Noir
Disciple des arts Kelvors

Je te torturerai de manière telle que le soleil pourra luire à travers ton corps !

Qu'il s'assoit sur son Pic de souffrance, ça lui donnera du plaisir !!!

Autre exemple de leur barbarie :

Citation :

Journal du Commandeur Valdez: tortures et mises à mort d'Althéa Stormbringer et Tiir

Extrait adressé aux interessés et aux chefs de coteries, clan/famille, et au grand Saurien.

Le campement de l'Ost Noir était en effervescence. Les purs en fuite se regroupaient et la contre-attaque s'annonçait proche. An centre trônait un engin effrayant.
C'était une statue de fer de grandeur naturelle, d'une taille un peu au dessus de la moyenne, mais posée sur un bas piédestal qui s'enfonçait ou se haussait.

Leagore, Fimbur, Cadiz et Valdez en mission trainaient Althéa Stormbringer et Tiir dans un filet qui laissait un sillon derrière lui.

La statue représentait une femme sobrement drapée, les bras nus.
Ses bras étaient articulés, assez ingénieusement aux épaules, aux coudes et aux poignets, les mains aux doigts écartés, crochus et acérés, demeurant à demi fermés, dans le mouvement de saisir violemment quelque chose ou quelqu'un ...

Althea et Tiir se regardèrent en voyant la statue, et surtout le sourire d'épouvante de leurs bourreaux. Ces derniers attrapent Althea par les cheveux et la sortent du filet. Cadiz la bave aux lèvre n'en peut plus et d'un cri horrible manie la faux avec puissance.

- "Suffit, tu lui a déjà coupé une jambe et un bras !" lui lance Valdez, "A la Dame de Fer maintenant"

Althea est emmenée dans la statue sous le regard épouvanté de Tiir qui sait le sortqui lui est réservé.

La victime hurlant de peur se cambre, espérant échapper à l'étreinte : quel spectacle ! ...

Les gros cierges éclairaient Althea. Son visage convulsé, sa bouche hurlante, ses yeux horrifiés ...
Son sein gauche jaillit, splendide et lourd, jeune et gonflé, d'une blancheur délicate ...
Et les contorsions de son corps flagellaient les longues mèches de sa chevelure

Et le sang paru, tomba par gouttes puis ruissela ...

C'est que des yeux de la statue, tout aussi lentement, sort une autre pointe d'acier ...
lentement encore, les bras de fer resserrent leur étreinte, l'un étant resté un peu au dessous de l'épaule gauche de la victime, l'autre étant remonté et lui enfonçant ses ongles dans le crâne, à travers les cheveux.

Fimbur, saisissant un fer aigu ou un tisonnier rougi au feu, commençait à piquer Tiir, semblable à un grand oiseau blanc et beige, qui dans ses mouvements de recul, se découpait les tendons dans les liens serrés du filet.
A chaque coup, s'épaississaient les ruisseaux de sang qui rejoignaient celui d'Althea, blanche, assise impassible, regardant dans le vide à peine consciente.

Après quelques heures de supplice:

- "Leagore, Fimbure, achevez-les ! Ils ont perdus connaissance et ne souffrent plus..." ordonna Valdez.

Les bourreaux de l'Ost ne se firent pas prier...